Ghostown

...Ghostown

D’abord, on parle de musique. « Ghostown » c’est l’histoire d’un insomniaque qui, à force de nuits blanches, devient la proie d’hallucinations.

Ensuite, on se concentre sur les images. Depuis toujours je me suis intéressé à l’entropie, la disparition inéluctable de toutes choses.

Et enfin, on subit le grand fléau, ce virus éxotique qui a vidé nos rues de toute présence humaine.

Le clip « Ghostown » est tissé de ces trois étoffes . Une imbrication inextricable. Une évocation plus proche des sens que de la raison, qui prend sa source dans l’obscurité et qui se déploie vers la lumière.

Conception & réalisation du clip : David Anémian

Durée : 4 min 29 sec


Movie Star

In my dream, I’am a movie star

Pour David Anémian, une grande première, la sortie de son Ep « Kind of Vertigo » et un premier clip pour son titre « Movie Star ».

Un amour, un hommage pour les stars et les réalisateurs de ces œuvres artistiques. Des séquences emblématiques qui nous fascinent, un déroulé dans le sens et le rythme de ce titre musical. Une longue recherche, un choix difficile mais qui fait sens, des images fixes sur les refrains, le temps figé, presque. Un rêve pour chacun…

Conception & réalisation du clip : David Anémian & Roland Stevenot

Durée : 6 min 04 sec

Les extraits des films choisis, dans l’ordre :

The Killers – R. Siodmak *Lost Highway – D. Lynch *Manhattan – W. Allen *Drive – N. Winding Rfen *Tirez sur le Pianiste – F. Truffaut *Taxi Driver – M. Scorcese *Un Singe en Hiver – H. Verneuil *Paris Texas – W. Wenders *Manhattan – W. Hallen *Taxi Driver – M. Scorcese *Un Homme et une Femme – C. Lelouche *Psycho – A. Hitchcock *The Blues Brothers – J. Landis *Notorious   – A. Hitchcock *Kill Bill 2 – Q. Tarantino *Bullit – P. Yates *Ronin – J. Frankenheimer *Drive – N. Winding Rfen *Breakfast at Tiffany’s  – B. Edwards *Bonnie and Clyde – A. Penn *A bout de Souffle – J.L. Godard *Easy Rider – D. Hopper *Pulp Fiction – Q. Tarentino *Kill Bill 2 – Q. Tarentino *The Big Lebowsky – E. & J. Cohen *Les Valseuses – B. Blier *Un Homme et une Femme – C. Lelouche *Taxi Driver – M. Scorcese *Psycho – A. Hitchcock *Pulp Fiction – Q. Tarentino *Gilda – C. Vidors *The blues Brothers – J. Landis *Bande à Part – J.L. Godard *Singin’ in the Rain – S. Donen *Otto e mezzo – F. Fellini *Dirty Dancing – E. Ardolino *From here to Eternity – F. Zinnemann *La Piscine – J. Deray *Bullit – P. Yates *Casque d’Or – J. Becker *Basic Instinct – P. Verhoeven *Casablanca – M. Curtiz *Dr No – T. Young *Titanic – J. Cameron *Quai des Brumes – M. Carné *Indiana Jones – S. Spielberg *Fenêtre sur Cour – A. Hitchcock *Mulholand Drive – D. Lynch *The Killers – R. Siodmak *Four Weddings and a Funeral – M. Newel *Eyes Wide Shut – S. Kubrick *Notorious – A. Hitchcock *Vivre sa Vie – J.L. Godard *La Fiancée du Pirate – N. Kaplan *Gilda – C. Vidors *Bonnie and Clyde – A. Penn *Rocco et ses Frères – L. Visconti *Blade Runner – R. Scott *Touch of Evil – O. Welles *L’Été Meurtrier – J. Becker *Lolita – S. Kubrick *L’Important C’est d’Aimer – A. Zulawski *Taxi Driver – M. Scorcese *Bonnie and Clyde – A. Penn *The Killer – J. Woo *The Sting – G. Roy Hill *Scarface – B. De Palma *Terminator 2 – J. Cameron *Tomb Raider – S. West *Blade Runner – R. Scott *Ronin – J. Frankenheimer *Léon – L. Besson *Mission Impossible 2 – J. Woo *Casino Royale – M. Campbell *Rambo 2 – G. Cosmatos *Le 5ème Élément – L. Besson *The Untouchables – B. De Palma *The Deer Hunter  – M. Cimino *Heaven’s Gate – M. Cimino *Little Big Man – A. Penn *The Wild Bunch – S. Peckimpah *Cera una Volta il West – S. Leone *Thelma et Louise – R. Scott *Der Himmel über Berlin – W. Wenders *Le Mépris – J.L. Godard *Suddenly, Last Summer – J.L. Mankiewicz *Der Himmel über Berlin – W. Wenders *Apocalypse Now – F. Ford Coppola *The Misfits – J. Huston *Le Salaire de la Peur – H.G. Clouzot *Alien 4 – J.P. Jeunet *The Silence of the Lambs – J. Demme *Otto e mezzo – F. Fellini *Modern Time – C. Chaplin

Pictures from « Stars de l’Écran » by Gründ, reworked.

Modern Times – C. Chaplin *The Garden of Allah – R. Boleslawski *The Lady from Shangaî – O. Welles *Cat on a Hot Tin Roof – R. Brooks *Touchez pas au Grisbi – J. Becker *The Great Gatsby – J. Clayton *The Postman Always Rings twice – B. Rafelson *The African Queen – J. Huston *Agatha – M. Apted *The Wild One – L. Benedek *Notorious – A. Hitchcock


Amsterdam

Dans le port d'Amsterdam...

Nicole Mouton, comédienne chanteuse, interprète « Amsterdam », un arrangement orchestré par Gilbert Gandil, premier marqueur d’un projet ambitieux « Mon Olympia à Moi ». Un Ep est en préparation avec cinq titres.

Une revisite de cette chanson culte de Jacques Brel, un tempo  du sac et du ressac, un court circuit électrique harmonisé avec l’interprétation et la voix en « retenue » de Nicole Mouton.

Réalisation : Roland Stevenot

Durée : 4 min 21 sec

AMSTERDAM de Jacques Brel

Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d’Amsterdam
Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes

Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant

Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D’un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s’entendre rire
Jusqu’à ce que tout à coup
L’accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu’en pleine lumière

Dans le port d’Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d’Amsterdam
De Hambourg ou d’ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d’Amsterdam
Dans le port d’Amsterdam

 

 

 

 

 


Show me your light

...Show me your light

Show Me Your Light, titre de l’album « Sweet Masala » de Sabine Kouli. Sabine et ses voyages à travers le monde pour soutenir des projets caritatifs pour la culture et l’éducation des enfants en Afrique. Ce titre constitue un reflet de son aventure, percevoir la lumière de chacun. Sa naissance (mélodie et texte), c’est à Chicago, en plein hiver. Ce clip de  «Show me your light» était une réelle occasion de montrer la plus juste et la plus sincère partie d’humanité qui réside en chacun de nous.
Nous avons construit ce clip comme une pépite, comme un éclat de vérité, où l’on peut toucher du doigt l’âme de la musique, et l’émotion qu’elle procure. La lumière composée en studio autour de chacun des danseurs, est comme un écrin de vérité, où l’étincelle de la musique prend vie.
Tout en émotion, ce clip se regarde les yeux dans les yeux, en se délectant d’une musique puissante.

Réalisation : Geoffroy Bourdais

Durée : 4 min 55 sec

Show me your light – Sabine Kouli
Even I’ve tried to walk on the pathway where all my journeys end
I might be strong but all of a sudden I can no longer carry on
The steps are too high I guess I’m blind
What if I climb and hide behind the wall of my sorrows
But then I lift my head upright to hear the sign
Show me your light, give me a sign, I’d better read between the lines to get
it right, if you would show me, show me your light
Now and then, some words get a hold on my soul like an anchor on a shore
What if I fly without a sigh to a higher ground ?
I know right now without a doubt that the die is cast, there’s no way back on the path of the lower side
Just in a blick, to make it real, I hear your words and I rise
Show me your light, give me a sign, I’d better read between the lines to get
it right, if you would show me, show me your light


Endless Mystery

...Endless Mystery

Un clip pour le groupe de rock Siiilk à contre-courant des modes actuelles, uniquement basé sur de la photographie, celle de David Anémian !!! Un processus de recréation avec de l’image fixe en noir & blanc, long et minutieux. Des images en mouvements dans ces images fixes, petit tour de magie pour faire avancer notre voyage. Un dualisme du temps pour glisser dans ce Endless Mystery qui vous transportera dans vos intérieurs !

Conception & réalisation : David Anémian & Roland Stevenot

Durée : 5 min 39 sec

*Prix du jury professionnel Aquarium.

Siiilk en première partie de Nick Mason le 21 juillet 2019 Aux Nuits de Fourvière.

Ci-dessus/dessous quelques tirages originaux.
*Intéressé(e) par un tirage numéroté certifié intégré dans le clip ?
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They Kill The World

...They Kill The World

Au début il n’y avait rien. Une ville au cœur d’encre, nourrit au monoxyde de carbone. La couleur interdite !
Des singes voilà ce qu’ils étaient devenus. Conditionnés, ensorcelés dans une citée déchue,
Sombrant avec elle dans un puit de folie. Sauvage à moins que…Un électrochoc, un rêve contre un cauchemar. Crevant le ciel à coup de guitares électriques, d’ondes sonores et magnétiques ! Reste alors des images des sons pour se réveiller !

Scénario & réalisation  : Roland Stevenot

Durée : 2min 42 sec

Plusieurs extraits de l’admirable film de Fritz Lang : Métropolis réalisé en 1927 

THEY KILL THE WORLD du groupe Monkypolis

Take me to a world where the night doesn’t falling
Take me to world where the mother nature ‘s burning
Can  you hear the sound of your own destruction ?
Can can can your find a land for your soul rédemption ?
They kill the world, they stop the world
They kill the world, they stop the world
So Come on take me to a world where the beauty is dying
We get into a mission for the right of dreaming
Can you bring color in your mind reflection ?
Can can can you understand in your « Monky » vision ?


Week-End in Love

Really a week-end in love !


Il y a comme une odeur de parfum qui s’échappe de l’image….La fille est belle comme dans une publicité. Réalité ou fantasme, allez savoir ? Week End In Love, titre du groupe Monkypolis, issu de leur dernier album – See Me in Colour, groupe français qui mérite de chauffer des scènes pour tracer devant vous ses couleurs. 

That said, I just show you a video I made for a group of Rock, Monkypolis : Ago as a perfume smell that escapes from the picture … .The girl is beautiful like in an advertisement. Reality or fantasy, who knows ? Weekend In Love, under Monkypolis group, from their latest album – See Me in Colour, French group that deserves to heat the scenes to draw you to the colors..

Scénario & réalisation : Roland Stevenot

Durée : 3 min 57 sec

Week end in love by Monkypolis

Breakfast with champagne
Lipstick on my face
Don’t remember your name
My head’s spinning
Dream in colour
Awakening colder
Vision more sober
I’m in a room with a number

That chick sparkles
Too young to look so old
She goes in the bathroom
To steal the bathrobe
Boots on the bed
Tatoos on her leg
I hope she’s not a man
I’m in a Monky hôtel !

Week end in love
And it goes like this
Week end in love,
This is a Monky love

Tv on background
Down on the ground
She breaks the mirror and drowns the goldfish
She takes me by the hand
Pulls a gun from her jacket
She says, if you love me
You’ve got to kill my man

Week end in love
And it goes like this
Week end in love
This is a Monky love

Hey you my lucky stranger
Remind me the rapture
I’d rather know what happened here last night
Hey you i’ll keep forever
This bitter rapture
I’d rather know what happened here last night